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Sylvie, la femme de Jean-Louis Fournier depuis quarante ans, est morte très brutalement. Le voici seul maintenant après tant d'années de tendre compagnonnage. Ils avaient en commun l'amour de leurs maisons, de leurs jardins, le plaisir renouv[...]texte imprimé
Le mal de vivre de l'héroïne, Anna, fille d'une Estonienne et d'un Finlandais, son anorexie-boulimie vécue comme une drogue dure, tiennent la place centrale dans ce gros roman. C'est malheureusement au détriment de l'autre volet du livre. Alte[...]texte imprimé
François Blanès est poursuivi par son enfance. Né de père inconnu, il est rentré d'Alger en France en 1981 à l'âge de cinq ans, avec sa mère. Devenu écrivain, il obtient le prix Renaudot pour un roman dont le héros, jeune Français idéaliste, déç[...]texte imprimé
« Pendant les quatorze années de combat menées aux côtés de ma mère malade, j'ai souvent eu l'envie d'écrire un livre pour porter une voix, celle des aidants. J'aurais voulu hurler pour qu'elle soit entendue en dehors des murs de notre maison ta[...]texte imprimé
Elle était drôle et insolente. Elle portait des petites robes légères de couleurs vives. Elle le faisait rire. Sa fille était sa réussite. Et puis un jour elle est partie vivre au soleil. Elle y a rencontré « Monseigneur », une façon de gourou v[...]texte imprimé
Estonie 1941. Les Allemands acculent les Soviétiques au repli. Deux Estoniens, Roland et son cousin Edgar, déserteur de l'Armée Rouge, doivent choisir leur camp. Quand Roland opte pour la résistance, Edgar, qui a abandonné son épouse Juudit, déc[...]texte imprimé
Quand une délégation de fières représentantes de la diaspora malienne à Villiers-le-Bel vient la trouver, la généreuse Madame Bâ n'hésite pas longtemps à répondre à l'appel : un destin historique, ça ne se refuse pas. Aux mains des djihadistes, [...]texte imprimé
Les parents de l'auteur sont sourds-muets ; elle parle avec eux la langue des signes, et sa fantaisie verbale irrévérencieuse peut se déchaîner sans danger, avec le sourire. Elle retrace la vie de la famille, puis la sienne, chronologiquement, d[...]texte imprimé
Le soir du 27 octobre 1949, un Constellation d'Air France et ses onze membres d'équipage accueillent à Orly trente-sept passagers, dont la célèbre violoniste Ginette Neveu et le champion de boxe Marcel Cerdan, en partance pour New York. Quelques[...]texte imprimé
Ne reconnaissant plus son pays, Christian Authier recense ce qui « est de chez nous ». Exaltant les grandes qualités humaines résumées par la « common decency » de Georges Orwell ? fidélité, générosité, honneur, solidarité, humilité, grandeur d'[...]texte imprimé
Dans les camps de concentration nazis, nombre de médecins furent incarcérés ; certains d'entre eux figurèrent également parmi les bourreaux. Joseph Mengele est le plus connu, mais ce n'est pas le seul. Ils sont une vingtaine dans le triste flori[...]texte imprimé
La nuit de tous les périls : au cours d'une nuit passée sur un luxueux hydravion qui relie Londres à New-York à la veille de la seconde guerre mondiale, les passagers embarqués semblent fuir quelque chose de plus menaçant que la guerre : leur pr[...]texte imprimé
Comment deux cents mètres carrés, situés dans un immeuble haussmanien de la rue du Val de Grâce, « dans le plus beau quartier de la plus belle ville du monde », pourraient-ils se résumer en un simple appartement parisien ? La narratrice revit[...]texte imprimé
La cinquantaine bien tassée, un météorologue japonais, qui rentre sagement tous les soirs dans sa maison de banlieue à Nagasaki, a tout du vieux garçon à la vie réglée comme du papier à musique. Cependant quelque chose, ou plutôt quelqu'un, s[...]texte imprimé
Balades, flâneriesà Je cherche le mot le plus léger pour dire ce que furent ces instants volés au ciel de Normandie. Oui, tout autour de chez moi, et pas très loin le plus souvent. Mais après tout, cela pourrait aussi bien être partout ailleurs.[...]